La FIT est fière d'avoir contribué au développement de 49 start-ups pour un montant total de 6.445 millions de francs suisses. Dans le détail, ce sont ainsi 27 prêts et 22 bourses qui ont été accordés.
D’une start-up née en février 2012 sur le campus de l’EPFL, Distalmotion s’est mue au fil des années en une entreprise solide réunissant aujourd’hui une équipe de 200 personnes. Le projet de départ, celui d’une chirurgie robotique accessible au plus grand nombre, s’est concrétisé à l’échelle européenne, et bientôt américaine. Grâce au robot « Dexter », les innovateurs de Distalmotion ont su apporter une réponse nouvelle à la manière d’envisager l’assistance par robot.
Depuis quelques mois, les bonnes nouvelles s’enchaînent pour la start-up Voltiris. Levée de fonds finalisée, belles perspectives commerciales, reconnaissance dans le TOP 100 des start-up suisses... Voltiris a aussi reçu un prêt Tech Growth de la FIT en 2024. Entretien avec Nicolas Weber, cofondateur de cette jeune pousse spécialisée dans l’agrivoltaïsme.
L’idée d’Arthur Claessens, fondateur de SideLights, est née d’un constat clair : à vélo, le fait de « voir » et « être vu » n’était que très partiellement atteint. L’innovation développée par SideLights entend pallier cet écueil en permettant aux cyclistes de bénéficier d’une sécurité accrue sur la route grâce à un système de lumière 360° les rendant extrêmement visibles, tout en leur permettant de voir de manière optimisée.
Face à l’urgence écologique, Synature se positionne comme un acteur essentiel pour surveiller et préserver la biodiversité. Grâce à une approche novatrice mêlant bioacoustique et intelligence artificielle, cette start-up répond à un problème mondial : l’absence de solutions simples, standardisées et évolutives pour mesurer l’état de la biodiversité.
La tenue adéquate à porter chez le gynécologue est source d’interrogation pour nombre de femmes, avec des vêtements faciles à enlever, ou qu'elles peuvent soulever afin de ne pas se retrouver totalement nues. Une problématique que Lirjeta Maxhuni a transformée en opportunité pour innover grâce à son vêtement GYNECARE+ spécialement pensé pour les examens gynécologiques, redéfinissant ainsi les standards de la consultation médicale.
Environ 1 femme sur 8 développe un cancer du sein au cours de sa vie, avec des profils de patientes de plus en plus jeunes. À ce jour, la méthode de dépistage utilisée est la mammographie, une technologie qui, malgré son utilité, n’est pas optimale. Une technologie aux nombreux facteurs limitants, que la Doctoresse Sarah Cattin et son équipe chez Xemperia adressent en proposant une nouvelle manière de dépister ces cancers, via une simple prise de sang.
Chaque année, la FIT œuvre à rendre ses activités le plus visible dans l’écosystème, de sorte à ce que ses outils soient accessibles, et à ce que les entreprises soutenues bénéficient de la portée des communications de la FIT.